2e Édition du Festival des Premières Chorégraphiques, du 9 au 12 février 2022, à l’espace El Teatro : Pour plus de visibilité
On annonce pour cette seconde édition, une programmation riche et variée avec 7 spectacles alternant créations tunisiennes et créations internationales, ateliers artistiques, webinaires, tables rondes et débats, rencontres entre les artistes et le public… L’association Al Badil-Alternative culturelle lance la 2e édition du Festival des Premières chorégraphiques, un festival de danse qui met en avant les jeunes talents et leurs premières créations, et qui se tiendra du 9 au 12 février 2022, à l’espace El Teatro, à Tunis. La manifestation est née à l’aune de la conjoncture sanitaire et
Syhem Belkhodja à la Presse : « La réaction du public était à courbe ascendante ! »
Du 12 au 26 décembre 2021, deux événements se sont tenus à Djerba, organisés par l’équipe soudée de « Ness el Fen », « Djerba Doc Dance » et « Doc à Tunis ». Syhem Belkhodja nous en parle en détail. Vous organisez deux festivals en même temps cette année… J’organise deux festivals en même temps à Djerba. « Djerba danse days » à Houmet Souk, Erriadh et à Midoun, et « Doc à Tunis » à Ajim, Djerba. Pourquoi avoir choisi Djerba pour organiser ces deux manifestations ? Parce que j’ai passé toute une année à préparer plusieurs manifestations pour le sommet
Rochdi Belgasmi: un corps politique, reflet de la Tunisie
«Mon corps est mon pays.» Ce corps hautement politique a été victime de harcèlement et de menaces de mort à plusieurs reprises. PARIS: Chorégraphe, danseur et chercheur en esthétique de la danse, Rochdi Belgasmi a plusieurs cordes à son arc. Il sait aussi bien manier son corps que le verbe, toujours avec le dessein de briser les stéréotypes, d’éveiller les consciences et, surtout, de mettre en lumière sa vision du monde. Arab News en français s’est entretenu avec ce Tunisien dansant contre vents et marées. Un profil protéiforme Bien que Rochdi Belgasmi soit né et qu’il
Carthage Dance 2021 : Célébrer la danse engagée
Messages (a)politiques, discours universels, interrogations diverses de l’espace-temps, des époques et des valeurs prônées, la programmation 100% tunisienne et digitale, qui sera accessible à partir du 5 juin au public en ligne, promet d’être saisissante et porteuse de jeunes talents confirmés. En amont, journalistes et invités peuvent découvrir les artistes programmés dans les salles de Tunis. Hamdi Trabelsi, Oumaima Manai et Syhem Belkhodja se sont emparés de la salle du 4e art, à partir de 12h30, du Rio et de la salle 300, jusqu’à tard l’après-midi afin de présenter
« Cypher », le nouveau projet de Ridha Telili : Quand le corps s’exprime…
Nous l’avons connu réalisateur et cinéaste qui s’inscrit dans une vision citoyenne de l’art. Son outil, le cinéma, a porté à l’écran les préoccupations des gens qui souffrent et offre à travers des débats la parole à ceux qui n’en ont jamais eu. Son projet s’avère plus ambitieux, il embrasse de nouvelles pistes et explore l’humain par d’autres voies. « Cypher » représente son actualité, un spectacle de danse-performance qui questionne le corps, la mémoire, la revanche et l’histoire. Avec Ilyès Gharbi, Mohamed-Ali Benneji, Tarek Bouallagui, Ghazi Chebbi, Hassen Omri. Dans
« Band’Age » d’Amel Laouini à El Teatro : Un mal à l’âme scénique
Amel Laouini, metteuse en scène, et deux de ses chorégraphes acolytes, Sarra Mokaddem et Kais Boulares, se sont emparés de la scène afin de présenter leur spectacle « Band’Age ». Crédit photo : Mahmoud Saidi Lors d’un spectacle fermé où seule une poignée d’invités étaient conviés à cause des mesures anticovid-19 imposées, Amel Laouini, metteuse en scène, et deux de ses chorégraphes acolytes, Sarra Mokaddem et Kais Boulares, se sont emparés de la scène afin de présenter « Band’Age », laissant une liberté entière aux mouvements et aux corps de crier colère, espoir,
Tunisie : la danse contemporaine tous azimuts
REPORTAGE. Mis à l'honneur lors du deuxième festival Carthage Dance à Tunis, nombre d'artistes ont montré leur volonté d'œuvrer au meilleur rayonnement de leur discipline au niveau national et international. Parmi les 35 spectacles présentés lors de la seconde édition du festival Carthage Dance, qui s'est déroulé du 14 au 20 juin 2019 à Tunis, Jil est celui qui résume le mieux l'état de la danse contemporaine en Tunisie. Deuxième création du Nouveau Ballet de danse tunisienne né en 2018, cette pièce, portée par 13 jeunes interprètes issus d'autant de régions différentes de Tunisie, témoigne en effet du potentiel de la jeunesse locale
Démarrage de « Carthage Dance » : L’expression corporelle dans toute sa splendeur
Meryem Guellouz, directrice de la deuxième édition des Journées chorégraphiques de Carthage (Carthage Dance) a donné le coup d’envoi, hier soir, à la manifestation, au Théâtre de l’opéra, à la Cité de la culture des Journées, en présence du ministre des affaires culturelles Mohamed Zine El Abidine et d’un grand nombre de passionnés et de professionnels de la danse et de la chorégraphie. Elle a souligné, à ce propos, que « la danse n’est pas un divertissement comme c’est communément répandu, ni uniquement une passion ou une pratique
Spectacle de Danse à la Cité de la Culture : Le charme caché des 4 saisons
C’est à croire que les 4 saisons ne sont qu’un prétexte au jeu, au mouvement, à l’envol de ces corps qui sautillent, sèment drôlerie et amusement. Acidulée, énergique et fantaisiste, la chorégraphie des «4 saisons » d’Angelin Preljocaj, présentée le week-end dernier à la Cité de la culture offerte par le Centre chorégraphique du Pôle Ballet et Arts Chorégraphiques de la Cité de la culture en partenariat avec l’Institut français de Tunisie, était un voyage sur une planète atypique où se mélangent jeu chorégraphique et objets étranges du
Tunisie – Nawel Skandrani : « La connaissance est le premier pas vers la liberté »
« Nous existons, nous sommes vivants. Hayyou ala al Hayet ». Dans Ré-existence, sa dernière création, la danseuse et chorégraphe Nawel Skandrani ne dit rien de plus. Dès les premières minutes, elle s'installe en retrait du plateau, près du chanteur et compositeur Jawhar Basti, et n'en bougera plus jusqu'à la fin du spectacle, présenté notamment lors des dernières Journées théâtrales de Carthage (JTC). Dans son silence, ses quelques mots résonnent. D'autant plus que, chacun à sa manière, les sept jeunes interprètes – Houssemeddine Achouri, Haroun Ayari, Achraf Ben Hadj M'barek,