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Démarrage de « Carthage Dance » : L’expression corporelle dans toute sa splendeur

 

Meryem Guellouz, directrice de la deuxième édition des Journées chorégraphiques de Carthage (Carthage Dance) a donné le coup d’envoi, hier soir, à la manifestation, au Théâtre de l’opéra, à la Cité de la culture des Journées, en présence du ministre des affaires culturelles Mohamed Zine El Abidine et d’un grand nombre de passionnés et de professionnels de la danse et de la chorégraphie. Elle a souligné, à ce propos, que « la danse n’est pas un divertissement comme c’est communément répandu, ni uniquement une passion ou une pratique sociale mais aussi un métier ».

Elle a tenu à expliquer que la création d’un festival dédié à la chorégraphie avec l’appui financier de l’Etat, constitue un pas historique en Tunisie et dans le monde arabe, et un signe de réhabilitation pour la danse en tant que métier et un art à part entière.

Cette édition 2019, a ajouté Meryem Ghellouz, enregistre une présence arabe remarquable notamment de la Tunisie, de la Palestine, de l’Algérie, du Maroc, de l’Egypte, de la Syrie et du Liban estimant que ce rendez-vous demeure un lieu de rapprochement entre les artistes arabes et une plateforme idoine pour la valorisation de la créativité chorégraphique arabe.

Elle a, à la fin de son allocution, tenu à préciser que le chorégraphe danseur dans le monde arabe et africain se trouve hélas confronté à de nombreuses difficultés liées notamment au manque de moyens pour ses déplacements sans oublier les atteintes qui touchent son intégrité corporelle selon ses propos.

La soirée d’ouverture a été marquée par la présentation du spectacle « le royaume du sang » (Queen Blood) du chorégraphe français Osmane Sy. Il s’agit d’une œuvre où il poursuit son travail d’exploration des énergies et des gestes féminins. Les danseuses de sa compagnie « Paradox-sal » y déploient leur virtuosité technique et leurs singularités pour révéler ou questionner ce que peut être la féminité, assumée ou subie, à travers la danse et le mouvement.

Se poursuivant jusqu’au 20 juin sous le signe « Pas de danse sans intégrité corporelle », cette seconde manifestation est marquée par la participation de 250 danseurs et professionnels dans l’art chorégraphique avec au programme 37 spectacles dont 22 spectacles internationaux et 15 spectacles tunisiens ainsi que des tables rondes, des workshops, des performances et une résidence artistique.

Les représentations se dérouleront dans quatre espaces à savoir la Cité de la Culture, le théâtre El Hamra, la salle 4ème art et le théâtre « Le Rio ». Des performances de rue seront proposées aussi à la place « Bab Bhar » au centre-ville de Tunis.

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