Author: CATdanse

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Nous l’avons connu réalisateur et cinéaste qui s’inscrit dans une vision citoyenne de l’art. Son outil, le cinéma, a porté à l’écran les préoccupations des gens qui souffrent et offre à travers des débats la parole à ceux qui n’en ont jamais eu. Son projet s’avère plus ambitieux, il embrasse de nouvelles pistes et explore l’humain par d’autres voies. « Cypher » représente son actualité, un spectacle de danse-performance qui questionne le corps, la mémoire, la revanche et l’histoire.  Avec Ilyès Gharbi, Mohamed-Ali Benneji, Tarek Bouallagui, Ghazi Chebbi, Hassen Omri. Dans

Amel Laouini, metteuse en scène, et deux de ses chorégraphes acolytes, Sarra Mokaddem et Kais Boulares, se sont emparés de la scène afin de présenter leur spectacle « Band’Age ». Crédit photo : Mahmoud Saidi Lors d’un spectacle fermé où seule une poignée d’invités étaient conviés à cause des mesures anticovid-19 imposées, Amel Laouini, metteuse en scène, et deux de ses chorégraphes acolytes, Sarra Mokaddem et Kais Boulares, se sont emparés de la scène afin de présenter « Band’Age », laissant une liberté entière aux mouvements et aux corps de crier colère, espoir,

REPORTAGE. Mis à l'honneur lors du deuxième festival Carthage Dance à Tunis, nombre d'artistes ont montré leur volonté d'œuvrer au meilleur rayonnement de leur discipline au niveau national et international.   Parmi les 35 spectacles présentés lors de la seconde édition du festival Carthage Dance, qui s'est déroulé du 14 au 20 juin 2019 à Tunis, Jil est celui qui résume le mieux l'état de la danse contemporaine en Tunisie. Deuxième création du Nouveau Ballet de danse tunisienne né en 2018, cette pièce, portée par 13 jeunes interprètes issus d'autant de régions différentes de Tunisie, témoigne en effet du potentiel de la jeunesse locale

  Meryem Guellouz, directrice de la deuxième édition des Journées chorégraphiques de Carthage (Carthage Dance) a donné le coup d’envoi, hier soir, à la manifestation, au Théâtre de l’opéra, à la Cité de la culture des Journées, en présence du ministre des affaires culturelles Mohamed Zine El Abidine et d’un grand nombre de passionnés et de professionnels de la danse et de la chorégraphie. Elle a souligné, à ce propos, que « la danse n’est pas un divertissement comme c’est communément répandu, ni uniquement une passion ou une pratique

C’est à croire que les 4 saisons ne sont qu’un prétexte au jeu, au mouvement, à l’envol de ces corps qui sautillent, sèment drôlerie et amusement. Acidulée, énergique et fantaisiste, la chorégraphie des «4 saisons » d’Angelin Preljocaj, présentée le week-end dernier à la Cité de la culture offerte par le Centre chorégraphique du Pôle Ballet et Arts Chorégraphiques de la Cité de la culture en partenariat avec l’Institut français de Tunisie, était un voyage sur une planète atypique où se mélangent jeu chorégraphique et objets étranges du

  « Nous existons, nous sommes vivants. Hayyou ala al Hayet ». Dans Ré-existence, sa dernière création, la danseuse et chorégraphe Nawel Skandrani ne dit rien de plus. Dès les premières minutes, elle s'installe en retrait du plateau, près du chanteur et compositeur Jawhar Basti, et n'en bougera plus jusqu'à la fin du spectacle, présenté notamment lors des dernières Journées théâtrales de Carthage (JTC). Dans son silence, ses quelques mots résonnent. D'autant plus que, chacun à sa manière, les sept jeunes interprètes – Houssemeddine Achouri, Haroun Ayari, Achraf Ben Hadj M'barek,

ENTRETIEN. Avec 40 spectacles au programme, des conférences et workshops, la première édition de Carthage Dance–Journées chorégraphiques de Carthage questionne avec force les liens entre danse et politique. Rencontre avec sa directrice Mariem Guellouz.   Fruit d'une rencontre entre le chorégraphe sud-africain Gregory Maqoma et la compagnie Via Kathleong, engagée dans son pays dans un combat en faveur de la jeunesse des quartiers pauvres, le spectacle Via kanana a donné la couleur des nouvelles Journées chorégraphiques de Carthage. Le 26 juin 2018, dans la salle d'opéra de 1 800 places de la Cité de la culture ouverte

ENTRETIEN. Nés en Tunisie et installés à Lyon depuis 2005, les danseurs et chorégraphes Aïcha M'Barek et Hafiz Dhaou pointent dans "Narcose" l'asphyxie sociale et politique qu'ils observent des deux côtés de la Méditerranée. La danse, pour Aïcha M'Barek et Hafiz Dhaou, est un art qui se nourrit d'expériences diverses et d'observation. Autrement dit, de temps. Trois ans ont en effet passé depuis la création de Sacré printemps ! (2014) qui, trois ans après les révolutions arabes, interrogeait l'effet de ces événements sur les corps et sur les manières d'être ensemble. Avec Narcose,

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